Jeudi, le 24 novembre: Le CRAPAUD* présente la dernière activité du Mois de l’abeille urbaine:
Projection-discussion autour du documentaire
« Queen of the Sun: What are the Bees Telling Us? »
Un film de Taggart Siegel et Jon Betz
La projection se tiendra jeudi le 24 novembre à 19h au complexe des sciences de l’UQAM (local SH-R810).
Trois invités apiculteurs seront présents et enrichiront certainement les discussions de leur expérience:
M. Alain Péricard
Journaliste, enseignant (Uquàm et McGill) puis consultant/chercheur, Alain Péricard est aussi depuis plusieurs décennies apiculteur bio. Dans les années 1980 il avait un petit rucher sur le Plateau Mont-Royal qui produisait des récoltes exceptionnelles. Il forme depuis plusieurs années des apiculteurs urbains à son rucher du Canton de Cleveland (Estrie) et développe une méthode d’apiculture écologique adaptée à l’apiculture urbaine.
Tim Murphy et Yoan Bonnefon du Collectif d’apiculteurs-trices du Santropol Roulant
Ce collectif d’apiculteurs a installé et entretenu des ruches posées sur les toits du Santropol Roulant et de l’Université McGill à l’été 2009.
Sur le film: Queen of the Sun. What are the bees telling us? » (2010) est un film documentaire engagé sur la crise actuelle qui voit les abeilles disparaître et disparaître avec elles la relation privilégiée les reliant à l’homme. Ce film interroge les véritables conséquences d’une telle disparition. Le réalisateur, Taggart Siegel, donne la parole à une population peu entendue dans les medias: les apiculteurs biodynamiques mais aussi certains scientifiques et philosophes sous-représentés dans les débats sur le phénomène de disparition des abeilles domestiques. Ils s’expriment sur les véritables enjeux du problème, ceux qui se cachent derrière les chiffres et les dollars. C’est une extinction bien plus générale qui se profile si l’on n’écoute pas ce que les abeilles tentent de nous dire dans la crise actuelle. http://www.queenofthesun.c
info.: Genevieve au 514.987.3000 poste 2210
*En collaboration avec Éco-stage Katimavik, l’Institut des sciences de l’environnement et le Département de biologie de l’UQAM